Citation :
Le but est qu'on ne classe pas le foetus dans la catégorie "amas de cellules". C'est tout.
Ca revient à mon questionnement initial :
Citation :
Est ce que consideres que l'enfant est vivant (donc son droit à la vie>droit de disposer son corps) à partir du moment ou il respire ? A partir du moment ou il est conçu ? A partir du moment ou il a une conscience propre ? A partir du moment ou il est voulu, désiré ?
Objectivement aucun de ces critères ne dépendent pas de nos convictions personnelles. Et j'en vois aucun qui pourrait trancher cette question sans passer par les convictions.
Auquel, toute les réponses sont admissibles in fine. Après, encore une fois, pourquoi devrait on privilégier une réponse particulière à ce questionnement ?
Citation :
OK en fait je comprends l'erreur que tu fais, toi Gimli.
Tu me dis un avortement = homicide (Oui, si tu considère le foetus comme vivant en effet, quelqu'un a été assassiné)
Je te réponds la légitime défense (dans le cadre ou y'a mort obv) = homicide (Oui, le gars tué est mort).
Du coup, tu compares bien un meurtre et un avortement,
sous prétexte que les
conséquences sont identiques mais par contre tu considères qu'un homicide par légitime défense doit être considéré différemment alors que là aussi les
conséquences sont identiques.
Pourquoi une telle disjonction des cas ?